éclectik : Jean Rochefort – Chroniqueurs Européens

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© Photo Pierre Maurer

Émission diffusée sur France Inter le 4 novembre 2006

Écouter l’archive audio de cette émission :
[audio:http://silva-rerum.org/MULTIARCHIVES/AUDIO/ECLEC2006/20061104-ECLEC.mp3]

Producteur / Productrice : Rebecca Manzoni ; réalisation : Lilian Alleaume ; attaché(e)(s) de production : Joëlle Levert et Fanny Leroy ; avec la collaboration de l’e-doc. Reporters: Thomas Chauvineau et Antoine Ly ; programmation musicale : Jean-Michel Montu.

Chroniqueurs étrangers : l’Afrique avec Zyad Limam d’Afrique Magazine, Eyoum N’Guangue de Planète Jeunes et Francis Laloupo de Continental Magazine ; l’Amérique avec Luisa Corradini de la Naçion d’Argentine, Eduardo Olivares du portail francochilenos.com, David Page de la rédaction anglosaxonne d’RFI et Michel Dolbec ; l’Europe avec Joëlle Meskens du Soir de Bruxelles, elle est accompagnée par Johannes Wetzel et Edita Urmonaite.

Fiche de l’émission extraite du site de France Inter :

Jean Rochefort
Le voyage dure une demi-heure quand ça roule bien. Et on finit par arriver dans un parc immense, avec des arbres et des écuries qu’on ne voit pas tout de suite. On est chez Jean Rochefort, à côté de Paris et totalement ailleurs. Il y a un dessin de Sempé au mur. Un monsieur qui conduit un vélo avec une dame un peu potelée assise sur le cadre en amazone. Il y a un portrait de Jean Rochefort à l’âge de vingt ans, des dessins à l’encre de chine de Pierre Besson. Aucune photo. Juste des peintures et des dessins. Jean Rochefort crayonne aussi parfois. Sur des feuilles volantes…Rebecca s’installe. “Asseyez-vous ma chère”

Jean Rochefort partage l’affiche du nouveau film d’Antoine de Causnes “Désaccord parfait” avec Charlotte Rampling. en salles mercredi prochain

Le,journal de bord de Thomas Chauvineau
Notre reporter a passé une journée avec Dominique Voynet et son équipe de campagne : rendez-vous matinal au siège du journal le Nouvel Observateur pour deux heures de “Chat” avec les auditeurs-internautes sur le site du journal. Après un arrêt au QG de campagne des Verts, Dominique Voynet se rend en métro à l’émission de Karl Zéro

La revue de presse du pire de Guillaume Erner
Pendant longtemps, la philosophie politique a été un commentaire des propos d’Aristote ou de Machiavel.
Et bien cette époque est révolue. Désormais, penser le politique dans nos contrées, ce sera se référer, au moins implicitement, à un ouvrage justement encensé dans Gala et Voici, je veux parler du maître livre de Teri Hatcher, intitulé « le syndrome du toast brûlé ». Un livre dont voici un extrait :
« J’ai écrit la plus grande partie de mon livre assise par terre dans mon living, écrit-elle. On ne peut pas tomber plus bas » – poursuit-elle, lucide, page 20 – puis elle s’exclame, toujours p. 20, décidément une page importante : « Waouh ! j’ai un éditeur ».

Blog
Retrouvez la plume de Guillaume Erner sur son blog

Les chroniqueurs étrangers
Un an après les émeutes de banlieues, Joëlle Meskens rend hommage au travail de terrain des maires, “serpillières de la république” selon le maire de Drancy Jean-Christophe Lagarde. A voir : “Mal de Maires” par la compagnie Les Héliades (02 37 29 58 53), divertissement en 4 tableaux sur le spleen des élus locaux, le spectacle tourne actuellement à travers la France
Petit déjeuner, petit ami, et le petit chaperon rouge…notre chroniqueuse Lituanienne, Edita Urmonaite s’interroge sur l’utilisation du mot petit avec l’éclairage d’Alain Rey qui vient de publier “A mots découverts, chroniques au fil de l’actualité” aux éditions “Robert Laffont”.
Johannes Wetzel se lance dans une comparaison des parcours d’hommes politiques français et allemands alors que paraissent les mémoires de
Gerhard Schröder “Ma vie et la politique” éditions Odile Jacob.

Programmation musicale
        > Vincent Delerm : Les piqûres d’araignée (Tôt ou Tard)
        > Gorillaz : Clint Eastwood (Parlophone)
        > Georges Moustaki : Les eaux de mars (Virgin)
        > David Bowie : Let’s dance (EMI)
        > Kaolin : Partons vite (At home)
        > Noir Désir : Le vent nous portera (Barclay)