© Photo Pierre Maurer
Émission diffusée sur France Inter le 8 juin 2006
Écouter l’archive audio de cette émission :
[audio:http://silva-rerum.org/MULTIARCHIVES/AUDIO/ECLEC2006/20060608-ECLEC.mp3]
Producteur / Productrice : Rebecca Manzoni ; réalisation : Lilian Alleaume ; attaché(e)(s) de production : Joëlle Levert et Fanny Leroy ; avec la collaboration de l’e-doc. Reporters: Thomas Chauvineau et Antoine Ly ; programmation musicale : Jean-Michel Montu.
Chroniqueurs étrangers : l’Afrique avec Zyad Limam d’Afrique Magazine, Eyoum N’Guangue de Planète Jeunes et Francis Laloupo de Continental Magazine ; l’Amérique avec Luisa Corradini de la Naçion d’Argentine, Eduardo Olivares du portail francochilenos.com, David Page de la rédaction anglosaxonne d’RFI et Michel Dolbec ; l’Europe avec Joëlle Meskens du Soir de Bruxelles, elle est accompagnée par Johannes Wetzel et Edita Urmonaite.
Fiche de l’émission extraite du site de France Inter :
« C’est l’histoire d’un photographe fatigué, d’une fille patiente, d’horreurs banales et d’un chat pénible ». C’est par ces mots que Manu Larcenet résume les trois albums de son « Combat Ordinaire », une série BD qui a le goût d’une lutte pour l’authenticité et dont le dernier tome vient de paraître chez Dargaud.
Le combat ordinaire, c’est celui que nous menons tous, la rude mission qui consiste à vivre, avec son passé, son héritage familial plus ou moins lourd. Partant d’événements autobiographiques, Larcenet met en scène Marco, jeune photographe de presse exilé à la campagne après avoir quitté son psy et son boulot, et qui essaie de vivre malgré un mal-être typique de l’époque et une incapacité chronique à se projeter dans l’avenir.
Après des albums drôles à l’humour « gros nez » et des pages déjantées dans « Fluide Glacial », le très prolifique Manu Larcenet entre dans le registre intimiste, et dévoile nos propres inquiétudes face à la vie. De nouveaux sujets viennent émailler « Ce qui est précieux », le troisième tome : l’importance de l’enfant, la perte des êtres chers ou le besoin de se raccrocher à une cause, même la pire, quand on n’a plus d’espoir.
24h en 6 mn par Thomas Chauvineau
On pourrait croire que la politique en ce moment se résume à ces deux prénoms: Ségolène et Nicolas. Mais, il y a aussi Stéphane… Stéphane Gatignon. Il a 36 ans et c’est le Maire, apparenté communiste de la Ville de Sevran en Seine Saint-Denis.
50000 habitants, 50 communautés. Les deux entreprises qui faisaient tourner la ville sont parties dans les années 90, et l’argent manque faute de revenus des taxes professionnelles. Elu depuis 2001, Monsieur le Maire n’est pas du genre à se laisser faire.
La revue de presse du pire de Guillaume Erner
Désormais, la mode s’est emparée du régime, je veux parler du régime monarchique qui n’a jamais été assez aussi branché. On croyait avoir tout vu et bien non, après le retour des années 80, il suffisait d’attendre, maintenant c’est Marie Antoinette qui emporte tous les suffrages.
programmation musicale
> BENABAR : « Le dîner »
(Epic)
> THE CLASH : « London calling »
(Columbia)
> ANTHONY HAMILTON : « Ain’t nobody worryin' »
(RCA)
> BERNARD LAVILLIERS : « Pigalle, la blanche »
(Barclay)