Enfumage & éléments de langage

Dans une vidéo présentée et perçue comme posée et bienveillante, Raquel Garrido « fait le point » sur l’affaire Adrien Quatennens qui déchire les militant.e.s de la #FI

Et c’est une belle opération d’enfumage politique… 

@FranceInsoumise 

 #Quatennens #VSS #violencesfaitesauxfemmes #ViolencesConjugales . 

Dès le départ de la vidéo, et sans rentrer même dans le dispositif de cette interview vraisemblablement préparée ensemble par les deux parties, Raquel Garrido (RG) pose le cadre conceptuel de la façon dont elle va traiter le sujet : elle utilise tout de suite le terme fort de « radiation » comme pour marquer la force et l’importance d’une décision de la part de la FI dans l’affaire… Mais en fait on s’aperçoit que c’est radiation temporaire, donc en réalité ce n’est pas une « radiation » mais bien dans les fait une simple suspension.

Puis, elle évoque le « plaider coupable » pour appuyer l’idée qu’Adrien Quatennens (AQ) reconnait et serait conscient du problème. Alors qu’en fait, le plaider coupable permet comme elle l’évoque justement, non pas juste de « reconnaître » une responsabilité mais surtout d’éviter des enquêtes approfondies… En gros comme aux E.U. cela permet d’éviter une enquête approfondie puis un étalage lors d’un procès et pas simplement comme elle insiste que « les auteurs soient pris rapidement dans un dispositif coercitif d’alerte », ce se sont des éléments de langage pour les réseaux. 

RG cherche ensuite à nous impliquer émotionnellement en nous menant dans la confidence, en évoquant les débats au sein des instances (lesquelles ? Je reviendrai dessus…), elle nous dit en effet qu’il « y avait toutes les positions dont ‘camaradesques’ ou a l’opposé que certain.e.s souhaitaient faire abstraction que c’est un insoumis »… Soit. On imagine bien que c’est un problème important à gérer…

D’une part à quel moment les militant.e.s ont été consulté.e.s ou ont pu exprimer démocratiquement leur avis (tiens tiens… N’est-ce pas un « sujet » récurent a la FI ça ?).
D’autre part, quelle est la valeur de cette la « transparence » à posteriori une fois que la décision est pliée.

Après avoir introduit l’idée de transparence, elle poursuit en cherchant à nous démontrer une forme de sincérité à percevoir ici comme résolument démocratique : « on a fait des ruches comme dans l’éducation populaire ».

Comme si utiliser ces outils, mais pourtant à huis clos dans des cercles fermés et dont on ne sait pas qui en fait parti (les députés, lesquels ? Qui d’autres ?) et comment ça a été décidé, conférait une validation démocratique et assurait ainsi la  production d’une décision juste et acceptable parce que menée avec des « outils de l’éducation populaire ». 75 personnes ont participé ? Mais qui ? Quelle légitimité ?

Puis elle cherche à nous impliquer émotionnellement en faveur d’AQ en parlant de « l’intimidation » qu’il pourrait ressentir en se trouvant face à ce cercle, néanmoins coopté, dont on ne sait pourtant rien. En précisant que les votes étaient « sophistiqués » pour bien nous mettre en empathie avec la difficulté de l’exercice genre « on s’est pris la tête et en plus avec des formes d’éducation populaire ». Soit, mais entre elles et eux dans une cercle fermé. Comme pour la référence à l’éducation populaire, ça reste des éléments de langage insérés dans un dispositif finalement opaque.

Déclarer donc que « c’est démocratique » parce que c’est issu d’un « processus délibératif » permet d’éluder les questions pourtant légitime quand il s’agit de décider de la représentation de tout un mouvement national et militant:

– Qui a délibéré ?
– La décision prise est elle conforme aux valeurs du mouvement ?

En appuyant fortement sur les éléments « délibératifs » RG cherche à nous faire valider une décision sur une forme pseudo démocratique dans laquelle nous validerions le fond :
Un auteur condamné de violences conjugales peut-il être un représentant de la FI et de la Nupes et donc un porte parole national des VSS ?
A t’on déjà oublié l’effet que cela nous fait de voir Gérald Darmanin à la tête de la Police ?

Evoquer le « flou des bancs » est là aussi une manœuvre de diversion : le narratif sur « la façon d’aborder » du PS et la Nupes nous entraîne là encore loin de la question de fond en nous baladant sur des questions de « postures » de différents groupes au sein de la Nupes.

C’est assez fort d’ailleurs car elle arrive même a retourner la situation : en évoquant le fait que ces groupes se posent des questions de formes politiques et du « sparadrap » alors que selon elle il faudrait se poser la question des VSS, elle se pose en défenderesse du fond, alors même que tout son dispositif vise justement cet évitement : tous les éléments de langage jusque là dans son discours sont jusqu’à présent uniquement sur des questions de forme en contournant le fond.

Pour légitimer davantage la décision, elle évoque le fait de « calquer la décision du groupe sur celle de la justice ». Là aussi cela reste un dispositif d’association inconsciente: outre la « radiation temporaire » qui est un oxymore, le fait de rattacher leur décision à eux, à « une décision de justice » leur permet de faire valider inconsciemment leur décision et d’éviter que ne leur soit opposées des valeurs « morales » alors que c’est pourtant là tout l’enjeu. Comme si la justice disait tout (ce qui n’est pas le cas puisque la procédure plaider coupable permet d’éviter l’approfondissement)…

En somme, « circulez il n’y a rien a voir », alors même qu’elle avoue elle-même « ne pas avoir accès au dossier de la justice » ! Donc là encore nous somme sur des éléments de langage et des propos infondés, tout en cherchant à légitimer une dé-radiation.

Nous pouvons ensuite apprécier la façon dont RG nous fait la pédagogie de la décision de la justice : la condamnation d’AQ est un avertissement pour « qu’il ne recommence pas ».

Nous voilà bien content, il est « averti ». Mais quid des valeurs de la FI ? Parce que la question de fond reste : un mouvement politique peut-il accepter qu’un représentant aux plus hautes fonctions est « sous contrôle de la justice » donc qu’il n’est intrinsèquement pas capable de se réguler, de se contrôler sans la menace de la justice ?

Quand elle dit ensuite que « la question n’est pas Adrien Quatennens » mais le calcul des mois de radiation temporaire. « 4 mois, 2 mois, 6 mois », elle poursuit son travail d’éloignement de la question de fond : « Chacun agit dans son propre périmètre » donc tout ça c’est de la technique en somme, comme lors des débat de 2019 sur la réforme des retraites et son adjectif d’alors, le « paramétrique ». Focalisons nous sur la technique et pas sur le fond.

Le procédé qui vise à une mise en perspective du « processus délibératif dans l’affaire Quatennens » nous amène à envisager que celui-ci serait  exemplaire (!) en retournant là aussi la position d’où elle parle. En effet, elle cherche à créer de l’empathie de la part des militants en se positionnant comme eux : cette décision serait légitime malgré le dispositif non démocratique de cette « assemblée représentative » et de sa décision « mesurée », justement parce quelle en valide les décisions en ayant été pourtant elle-même exclue ! C’est très fort comme dispositif. En gros « même moi qui n’en était pas je trouve que la décision est bonne » donc là encore circulez… Une position qui devrait donc être d’autant plus valable et donc acceptée par les militant.e.s qu’elle même pourtant exclue la trouve parfaitement légitime, là encore on esquive tout débat sur le fond.

En écoutant cette vidéo, je ne pouvais pas m’empêcher de penser à Aurore Bergé défendant Gérald Darmanin…. Et de penser que c’est pas demain la veille que l’on va pouvoir s’attaquer sérieusement aux Violences Sexistes et Sexuelles

l’écologie ou la mort

” À mes camarades de combats, de galères et de petites victoires, je dis que je suis heureux et fier de la confiance qu’ils me font, et de ce que l’on a fait même si nous n’avons pas gagné, même si nous ne gagnons pas.

Comme pour un voyage, la façon dont nous construisons nos victoires espérées, le parcours, les moyens utilisés, sont aussi important que le but visé. J’ai croisé ces dernières années des rouges, des jaunes et des verts qui m’ont rendu la fierté d’être un homme, d’être un humain, et ce n’est pas rien dans ce monde qui a perdu la raison. “

pour un bloc historique écologique

Quels que soient les résultats des élections de ce premier et de ce second tour, il est clairement nécessaire de travailler à la reconstruction d’un bloc historique écologique, avec les valeurs défendues par René Dumont : “Le libéralisme économique, c’est la liberté de tuer. La liberté de tuer le climat, donc de tuer les hommes, les femmes et les enfants. La mondialisation, c’est aussi la croissance des inégalités.”

#burnoutenvironnemental

À cause de mon histoire personnelle avec la #françafrique, ce modèle inique de prédation des ressources, des matières premières, des peuples, je me suis passionné pour la géopolitique, les ressources, l’énergie, l’histoire, l’économie…

J’ai tout plaqué il y a plus de 10 ans pour essayer d’accompagner notre “civilisation” vers un changement de modèle (ce qu’aujourd’hui certain.e.s appellent la bifurcation écologique), en allant notamment vers l’enseignement et la formation, en passant par la recherche.
Autant dire que ma bibliothèque #zotero a largement dépassé les 10Go : Des millers de papiers de recherche, des milliers de pages de presse, grand public ou spécialisée, internationales, des centaines de livres, d’atlas, de rapports techniques, scientifIques, sur tous les thèmes évoqués plus haut.

Pourquoi faire ?

Pour développer chez mes compatriotes, mes stagiaires, mes étudiants, une culture de l’impact. Impacts de nos modèles de vie, de nos modèles de production, de nos modèles de consommation… Pour pouvoir comprendre d’où viennent nos modèles actuels mortifères, et être ainsi en mesure de déconstruire ces systèmes de pensée qui nous ont amenés à la devastation environnementale, économique, sociale à l’œuvre sur la totalité de la planète. Pour repenser, reconstruire autrement.

J’ai démissionné en 2015 de ma thèse à l’École des Mines de Saint-Etienne parce que je n’en pouvais plus, j’étais au fond d’un abîme dans lequel je ne trouvais aucun sens : On sait depuis au moins 70 ans que l’on va dans le mur, on sait pourquoi, et on a les solutions depuis au moins 30 ans, mais on continue de privilégier le dilatoire.

J’interviens dans plusieurs cursus, dans plusieurs écoles… Hier, avec les étudiants de CPAH3 de Bioforce, j’ai craqué quand je suis arrivé sur la partie du cours où je reprends les grandes lignes des rapports du GIEC : je n’y arrive plus.

Non pas à en parler, non pas à expliquer. Je n’arrive plus à mettre à jour mon cours avec les derniers rapports du GIEC. Je n’arrive plus à les lire, même pas les résumés pour les décideurs, je les ouvre, mon esprit s’effondre, ils me tombent des mains. Je n’en peux plus.

Raisonner ? Mais pourquoi faire ?

Nous sommes de millers, des millions, à passer notre temps, notre énergie, à proposer et à construire des solutions basées sur la science, sur la raison, sur la réflexion, sur l’intelligence humaine et collective pour agir autrement.
Ça ne sert à rien : En face de nous, dans les cercles du “pouvoir” et de l’économie politique, en réalité, l’intelligence, la raison, le collectif, ils s’en foutent, mais royalement, avec un mépris souverain et une condescendance crasse.

Vous posez de la raison ? On vous oppose du dogme, des raisonnements pseudos scientifiques avec des modèles fallacieux pondus par des manipulateurs qui “prétendent détenir la vérité alors que tout ce qu’ils ont se ramène à une série compliquée de définitions et de jugements de valeurs déguisés en règles scientifiques” (M.Blaug dans “Histoire des pensées économiques. Les fondateurs, 2ème édition 1993, Baslé et al.).

Je suis en #burnoutenvironnemetal et en #burnoutpolitique tant le niveau des débats actuels est minable, irresponsable, alors que nous sommes en train de basculer dans le chaos climatique, environnemental, social.

un pognon de dingue

Quand il s’agit de financer du techno machin issus de power-points avec des concepts clés comme “développement-durable” ou “industrie-verte”, de l’argent, il y en a. Mais quand il s’agit de faire dans la sobriété, le low-tech et la qualité, l’effet de levier n’étant plus là les fonds non plus. Et je ne vous parle pas de financer les formations à la reconversion professionnelle, là, on touche le fond. C’est quand le changement de modèle ?

après nous

Sans tomber dans le jeunisme, ça fait quand même sacrément du bien de voir des jeunes, dont beaucoup sont plus jeunes que les étudiants que j’ai en cours, révoltés par l’inaction climatique, environnementale, sociale. Soutien.

Photos Progrès, S. Guiochon

La manifestation de samedi organisée par Youths4Climate est un bol d’air dans une campagne politique rabougrie – et d’une violence – dont trop de candidat.e.s passent plus de temps à utiliser la violence pour cliver et exister, que sur les enjeux écologiques, sociaux et environnementaux :

bruit et fureur

Accumulation de raccourcis grossiers, confusionnisme avec des « raisonnements » alambiqués, tordus et orientés. En fait ces deux publications sont les deux facettes de la même pièce.

Franchise sans filtre ? Non, juste de la haine de celles et ceux qui se voient en « penseurs” réacs, qui haïssent tout ce qui n’est pas aussi intelligent qu’eux. Ça laisse quand même un goût amer et rance face à ce véritable renouveau de l’anti-communisme primaire, accompagné aujourd’hui d’une islamophobie radicale. Mais là où la proximité idéologique est totale, c’est sur un mépris profond pour l’écologie.

« 5eColonne » « soumission » (à des intérêts étrangers), réthorique de la « traitrise » etc. outre que c’est d’une bêtise sans fond, ils ne voient évidemment pas la poutre des trahisons qu’ils portent eux-mêmes… Tout ça n’est pas sans rappeler les pires heures du McCarthysme, ou la Russie actuelle de Poutine, avec ses discours sur la déclin de l’Occident.

C’est fou que tous ces « auteurs* » si fiers de leurs « raisonnements » qui se voient en remparts contre les « islamo-gauchistes » ne voient pas à quel point ils sont idéologiquement proches. Les seules choses qui les empêchent aujourd’hui de fusionner, c’est l’atlantisme béat des uns et l’antisémitisme des autres, une frontière pas si épaisse que cela quand on voit, par exemple, que les évangélistes américains sont parmi les plus fervents supporters du sionisme (ils y voient la possibilité, après la mise à feu et à sang du Moyen Orient, du retour du Messie).

Il ne faudrait pas grand chose pour que tous ceux-là s’allient autour d’un ennemi intérieur commun à abattre : un bloc historique écologique.

« La Raison est un Combat ». Ici c’est un naufrage réactionnaire qui contribue à attiser les haines au travers de discours virils d’adolescents pubères. Tout cela contribue à mettre à feu et à sang la France.

Après leurs campagnes, que leur restera-t’il ?  Des listes d’ennemis à abattre, du nettoyage idéologique pour restaurer leur vision de la France. Sombre.

habiter demain, quelle cité voulons-nous ?

Conférence de Stéphane Pagano dans le cadre du Cycle effondré-es #3 organisé par le Théâtre du Bruit, conférence le 10 octobre 2020 à la Boulangerie du Prado à Lyon

À l’âge où le nouveau bluff technologique du “smart” connecté, nous apprend que la ville et nos
bâtiments sont bêtes, nos rêves, nos flux, nos modèles économiques sont-ils voués à être gérés de manière “efficace” et économiquement conforme ?

Vol et recel de nos données, et de notre identité, flux de matière et d’énergie relégués loin de nos consciences, tertiarisation d’un “village global”, on nous vend une Cité adaptée à l’industrie du capitalisme autoritaire.

Quelle cité voulons-nous ?

Partenaires : MJC Monplaisir, Le Croiseur, Le Périscope, VIlla Gillet, Aquarium ciné-café, CCO la Rayonne, Cinéma le Zola, bar De l’Autre Côté du Pont, Maison des associations Robert Luc Lyon 4, librairie Esprit Livre, CCC Média
Partenaires annulés pour cause de COVID : Espace Jean Couty Lyon 9, Péniche Fargo (La Turbine), Maison de l’écologie Lyon, MPT Salle des Rancy

refaire en commun

Conférence de Stéphane Pagano dans le cadre du Cycle Effondré-es #2, organisé par le Théâtre du Bruit, conférence le vendredi 11 octobre 2019 aux Clameurs à Lyon

Thème de la conférence
Pourquoi détruisons-nous, en pleine connaissance de cause, notre écosystème écologique et social ? Sous couvert de « liberté », une doctrine contre-historique déconstruit les règles instituées pour ne plus reproduire ce qui mène toujours à la dévastation.

Là où nous consentions à restreindre notre souveraineté individuelle pour du commun, nous devrions n’être que des « particules contractantes », cherchant « à optimiser nos utilités », un modèle ou tout devient « capital ». La solution à l’autodestruction ne passe-t-elle pas, justement, pour refaire société, par refaire, de la politique ?

  • Refaire en commun, Stéphane Pagano
  • Refaire en commun, Stéphane Pagano
  • Refaire en commun, Stéphane Pagano

Partenaires de l’événement : Les Halles du FaubourgAquarium ciné-caféLibrairie L’Esprit LivreMaison de l’Ecologie LyonLes Clameurs, bar fédératifLibrairie Terre Des LivresMJC MonplaisirLibrairie La GryffeLe Shalala – Bar à SpectaclesChromatique et Le Croiseur

réflexions concertées des actions possibles

Soirée d’ouverture du Cycle Effondré-es #2, organisé par le Théâtre du Bruit

Rencontre avec Vincent Verzat (Partager c’est Sympa), Corinne Morel-Darleux et Stéphane Pagano, animée par Yann Faure, aux Halles du Faubourg à Lyon

La diffusion des connaissances sur l’effondrement s’accompagne d’un sentiment d’effroi, voire de sidération. Sans jeter d’illusions par un espoir galvanisant, réfléchissons avec le public sur les « nous » possibles, sur le « faire » dès maintenant, avec de vrais impacts, en posant quelques pierres entre compromis, paradoxes et radicalité.

Partenaires de l’événement : Les Halles du FaubourgAquarium ciné-caféLibrairie L’Esprit LivreMaison de l’Ecologie LyonLes Clameurs, bar fédératifLibrairie Terre Des LivresMJC MonplaisirLibrairie La GryffeLe Shalala – Bar à SpectaclesChromatique et Le Croiseur

une Europe de l’union des peuples

Quand le mythe de “l’Europe qui protège de la guerre par l’Union des peuples” se confronte a la réalité de son modèle économique inique au service du capital mondialisé… l’UE des technocrates libéraux pour une mondialisation ultra libérale nous prépare un avenir sombre et brun…

Nos “élites” pseudo progressistes viendront elle une fois de plus nous chercher pour “sauver la démocratie” en 2022, de leurs incuries ou vont elles finalement révéler leurs vrais intérêts en s’accommodant de dirigeants forts pourvus qu’ils préservent les intérêts des affaires, à l’instar de Trump, Bolsonaro… Marion a un boulevard devant elle et se sont les ravis du libéralisme triomphant qui nous sermonnent dans nos médias et a l’Assemblée sur nos demandes de justice et d’un modèle économique respectueux de la planète et des humains, qui lui déroulent un tapis rouge…

Note importante : La vidéo originale “L’Allemagne peut-elle plonger l’Europe dans la crise ? – 28 minutes – ARTELa poussée de l’extrême droite inquiète en Allemagne. Au lendemain des scrutins régionaux…” a été supprimée :-/ par Arte.

Je met ici du coup une vidéo de remplacement

#sortonslallemagne #lesgensoulargent #relocalisonsleconomie